Si l'économie est aujourd'hui en train de vouloir reprendre pied après l'épisode de confinement qui l'a ralentie, l'absence de liquidité dans le système se fait ressentir particulièrement autour de la question des délais de paiement. Bercy a bien pesé de tout son poids auprès des plus grands pour les inciter à payer rubis sur l'ongle mais l'ambiance n'est, par recueil d'opinions, pas franchement joyeuse en bas de l'échelle alimentaire.

Et à nouveau, face à ces difficultés, les armes dont disposent les chefs d'entreprises peuvent aider à faire la différence. Si la relance des factures est un jeu énergivore, il est des solutions d'ERP, telles que PROD-UP, qui proposent le suivi de facturation et la relance automatisée des demandes de paiement. Maîtriser une balance âgée, savoir déterminer les urgences de relance et adresser des courriers est un exercice indispensable, mais surtout assez mathématique, invariable et logique pour que la machine démontre tout son intérêt dans l'automatisation. 

 

Certes cela n'influera pas sur la bonne foi des clients rétentionnaires de leurs liquidités mais laisser la charge de ce processus à la machine et se placer en décisionnaire d'actions au lieu d'acteur permet de dégager l'énergie des collaborateurs pour les tâches les plus vitales dans la gestion de trésorerie devant le volume en croissance d'impayés à gérer.

A nouveau, la crise pousse les entreprises dans leur retranchements et peut permettre, au prix d'un fromage, une leçon qu'il serait judicieux de mettre à profit.